Close

Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne / La joie venait toujours après la peine.
C’est à Paris que Guillaume Apollinaire, éternel vagabond, poète de l’errance, se fixe et trouve son équilibre. « Flâneur des deux rives », il y installe sa bohème. Poète, dramaturge, romancier, pornographe, journaliste, mystificateur, parfois même un peu voyou, il sait capter, mieux que personne, la modernité littéraire et artistique de la capitale. Il en est le passeur magnifique.
Apollinaire tisse un réseau d’amitiés solides (Picasso, le meilleur ami, le Douanier Rousseau, Max Jacob, Gide, Cendrars…), et entretient des amours tumultueuses et parfois douloureuses. Il est le meilleur découvreur du surréalisme, dont il invente le nom, et devient le chantre et le précurseur d’une formidable épopée littéraire et artistique. C’est à Paris qu’il vit, qu’il travaille, qu’il aime. Et c’est à Paris qu’il meurt, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice, il y a tout juste un siècle.

Le Paris d'Apollinaire

QRcode

Le Paris des écrivains 28

Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne / La joie venait toujours après la peine. C’est à Paris que Guillaume Apollinaire, éternel vagabond, poète de l’errance, se fixe et trouve son équilibre. &la

Voir toute la description...

Auteur(s): Balandier, Farnck

Editeur: Editions Alexandrines

Collection: Le Paris des écrivains

Année de Publication: 2018

pages: 129

Langue: Français

ISBN: 978-2-37089-053-5

Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne / La joie venait toujours après la peine. C’est à Paris que Guillaume Apollinaire, éternel vagabond, poète de l’errance, se fixe et trouve son équilibre. &la

Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne / La joie venait toujours après la peine.
C’est à Paris que Guillaume Apollinaire, éternel vagabond, poète de l’errance, se fixe et trouve son équilibre. « Flâneur des deux rives », il y installe sa bohème. Poète, dramaturge, romancier, pornographe, journaliste, mystificateur, parfois même un peu voyou, il sait capter, mieux que personne, la modernité littéraire et artistique de la capitale. Il en est le passeur magnifique.
Apollinaire tisse un réseau d’amitiés solides (Picasso, le meilleur ami, le Douanier Rousseau, Max Jacob, Gide, Cendrars…), et entretient des amours tumultueuses et parfois douloureuses. Il est le meilleur découvreur du surréalisme, dont il invente le nom, et devient le chantre et le précurseur d’une formidable épopée littéraire et artistique. C’est à Paris qu’il vit, qu’il travaille, qu’il aime. Et c’est à Paris qu’il meurt, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice, il y a tout juste un siècle.

Voir toute la description...

Découvrez aussi...